Dimanche 21/04 Dubaï
Dimanche 21/04 Dubaï
Fin du trip. Je profite d’un petit thé vert de retour à l’hôtel avant de partir pour l’aéroport, direction Paris.
La nuit fut plutôt bonne. Le réveil à 5h3à pique un peu mais le plaisir de la fraicheur matinal compense largement. Une boule rougeoyante s’élève doucement entre les dunes alors que nous remontons sur nos chameaux pour un dernier petit tour. Petit déjeuner au calme dans le camp alors que la température s’élève rapidement. Il sera bientôt temps de rentrer sur Dubaï.
Si cette excursion est très (très) touristique, le plaisir de la fin de soirée et du réveil dans le désert, en petit comité, est réel. La foule pose malgré tout un vrai problème de pollution. A aucun moment nous étions dans une zone vierge de déchets, aussi peu soient-ils. Aussi, la plupart des guides est étrangère : indiens, pakistanais, ils vivent 10mois de l’année à Dubaï et rentre l’été chez eux. L’été, avec des températures à plus de 40°C, est la morte saison. Elle coïncide en plus ces dernières années avec le mois du Ramadan. Notre guide nous explique aussi que son vol est pris en charge par l’entreprise (OceanAir dans mon cas) en fonction des commentaires sur tripadvisor. Un geste que j’aurai donc plaisir à faire. Pour cette excursion, s’il faut savoir à quoi s’attendre, je recommande d’y rester la nuit.
Je ne sais pas quoi penser du Dubaï. Le pays est riche et le montre. Pour les touristes, c’est un parc d’attractions géant, démesuré. On y trouve de tout. Mais tout reste cher et il faut se délaisser pour en profiter. C’est presque la destination parfaite pour une escale entre deux vols. 2-3jours je dirais, pas plus. Quant à l’authenticité, de ce que j’en ai vu, on repassera.
Un dernier trajet de métro et ce sera la fin de ce week-end intéressant dans le golfe persique. C’est aussi la fin d’un moi s de voyage riche en découvertes et aventures. Je suis heureux de ce que j’ai vécu, comme je suis content désormais de rentrer.
Désormais, il faut soigner ce genou, pour vite reprendre ce qui me fait vibrer : la route !
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