JEUDI 26/01 AUCKLAND

JEUDI 26/01 AUCKLAND

Happy Australian day!

Pas la peine de se presser ce matin, mon vol n’est qu’à 16h10. Check out sans problème. Point hostels.com: Felt like home!!! La maison est l’une des meilleures auberges que j’ai pu faire. Convivial, agréable, propre, des gens intéressants dans une saine atmosphère. Un petit jardin pour les soirées posées et une salle commune comme un salon d’hiver. Le staff est présent et aidant. Un must. A 30minutes du centre pour les fainéants.

J’ai le temps de descendre au port pour admirer les iles de la baie ayant accueilli dans la nuit 3paquebots de croisière. Il n’est pas étonnant de voir tant de visiteurs tant cette ville a à offrir. C’est un diamant qu’on ne veut tailler de peur de la souiller. C’est une terre de couleurs où les autochtones comprennent leur bonheur et le transmettent. Le stress y semble aussi absent que le sourire est présent.

Si les aborigènes d’Australie sont mis à part, ici l’esprit maori se confond avec l’esprit néo-zélandais. Sport et nature, terre et mer, tranquillité et croissance se mêlent pour faire de la Nouvelle-Zélande le paradis sur Terre.

L’aéroport est assez petit et bien organisé. Il est également très propre. Les immenses baies vitrées donnent sur le tarmac où les emblèmes des compagnies contrastent avec le turquoise, le vert et le bleu du décor naturel. Une invitation au voyage, une incitation à rester.

Un contrôleur un peu trop tatillon et borné ne cesse de répéter que les sacs cabines ne doivent pas excéder 8kg. Le mien fait 10kg (et ce, depuis 6aeroports…) et j’arrive à 8kg tout pile en transvasant… Dans mon autre sac. Le gars prend ce 2nd sac pour un sac à main et n’y prête pas attention. Tant mieux car il est désormais presque aussi lourd que le premier. Une étape qui aura donc été prépondérante dans la survie du vol. Blaireau ! Gentil blaireau (on leur pardonnerait tout avec une ile d’une telle beauté)

Je sais désormais qu’il me faudra revenir pour découvrir plus longuement les paysages si variés de l’ile du Nord et de celle du Sud.

Bientôt un vol d’une 12aine d’heures où j’arriverai à Santiago avant d’être parti d’Auckland. De quoi cogiter et me mettre à jour de film.

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