Jeudi 16/6 Uluwatu

Jeudi 16/6 Uluwatu

Arrivé au bout du bout de Bali. Quelques bungalows de bois et de bambou. La falaise, les vagues, la lune. Bien arrivé à Uluwatu.

Nuit encore écourtée par le muezzin dès 5h. Je ne suis pas mécontent de bouger en fin de journée.

De toute façon, départ 7h30 pour visiter la partie ouest de l’ile. Mon chauffeur n’est autre que le frère de mon hôte. J’avais hésité à louer un scooter mais mes talents de conducteur, les routes à la réputation sulfureuse et les pluies de la nuit m’en ont dissuadé. Et à raison car je découvre en voiture une route sublime mais à l’asphalte chaotique (quand il y en a).

La matinée débute à l’endroit le plus célèbre de l’ile : la plage de Kelingking. La péninsule forme une sorte de T-Rex qui boit une eau turquoise roulant sur une plage de sable blanc. Superbe ! Et à 8h, nous sommes presque seuls. La descente vers la plage prend 15/20min sur un chemin à ne pas prendre à la légère, extrêmement pentu. La récompense : une plage sublime mais à la nage déconseillée à cause des vagues.

La remontée me parait bien plus facile et je laisse même mon guide un peu à la traine. C’est une parait timing car l’endroit se remplit et le célèbre escalier, très « instagramable » est pris d’assaut.

Le reste de la matinée me fait passer par le Billabong, la Broken beach et Crystal bay. Tous trois sont de beaux endroits mais qui me laissent de marbre.

A 16h, je dis au-revoir à Kadek et pars prendre le fast-boat vers Bali. Ses bungalows sont d’un exceptionnel rapport qualité/prix à 150k IDR (10€) la nuit. Et il est extrêmement serviable. Le bruit le matin reste mon principal point noir. De façon plus générale, Nusa Penida ne m’aura pas laissé un souvenir impérissable, hormis les plongées.

Pour embarquer sur le ferry, mieux vaut prévoir les chaussures d’eau car c’est de la plage qu’on monte dans une premièreembarcation puis sur le bateau. 30min plus tard, on débarque à nouveau les pieds dans l’eau à Sanur, Bali. Kadek, mon chauffeur des premiers jours à 1h de retard. N’ayant pas de réseau, je fais des longueurs et m’agace. Je finis dans un warung pour un peu de wifi.

La route vers Uluwatu traverse les zones les moins sexy de l’ile entre la capitale et les zones à touristes. Puis, petit à petit, la vie se parsème et nous arrivons sur un promontoire. Obond m’accueille et me montre mon joli bungalow. Diner dans son petit warung face à la falaise avant de discuter foot. Il me tarde demain de voir le lieu au grand jour !

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