Dimanche 5/6 Ubud

Un nouveau tampon, un nouveau pays, l’Indonésie ! Le plaisir d’une douce soirée d’été, assis sur le patio de mon bungalow, au milieu des rizières balinaises.

Comme prévu, la nuit fut courte. Décalage horaire oblige, je ne m’endors que vers 4h pour un réveil 3h plus tard. Le capsule-hôtel Kinn est propre, très bien placé et calme. Légèrement moins cher que la concurrence. Bon à noter. Direction l’aéroport en une petite heure et vol Jet Star Asia pour Denpasar sans souci. A la réflexion, Singapour est une ville particulière ; plutôt une ville d’escale que de vie…

Une fois à Bali, les formalités d’arrivée trainent en longueur. Check des vaccins, paiement du visa (500 roupies, env. 33€). Passage à l’immigration et enfin à la douane. Presque une heure après l’atterrissage, je rejoins Kadek, mon chauffeur jusqu’à Ubud. Il est de la région, a 37ans et deux enfants. Il m’a été conseillé par une guest-house. Trajet qui traverse la partie laide de l’ile, à savoir la capitale Denpasar et les abords des plages touristiques.

Plus on avance, plus c’est vert. Pour mon plus grand plaisir. Du centre d’Ubud, on vient me chercher en scooter. Les bungalows du Sweet Orange Pondok sont situés dans les rizières, à l’écart des routes. C’estla carte postale classique avec les cultures en terrasses formant miroir d’eau au vert d’une végétation luxuriante. Le centre n’est pourtant qu’à 10min à pied. Le pied !

Ce soir, je teste le warung, ou restaurant local. Assis face aux rizières, je teste un mélange poulet, riz, légumes et lait de coco, l’Ayam Sambal Matah, avec un jus de fruits frais.

Je passe le reste de la soirée sur le patio à converser avec les criquets, aux légers clapotis du ruisseau. Tout s’aligne !