Jeudi 18/02 Frontera

Jeudi 18/02 Frontera

Journée lente, très lente, au rythme des averses. Avant dernier jour au Costa Rica. J’ai l’avion demain soir avec 14h d’escale à New York. Encore un peu de vacances.

Peu de chose à décrire aujourd’hui être mon bouquin sur la terrasse et mes multiples siestes. Première journée vraiment farniente des vacances !

Pas de quoi combler une journée, mais je fais mon tour « shopping » où les souvenirs sont hors de prix (Alors remerciez moi, OK ?!?). Sur le retour, je m’arrête à la chocolaterie à coté de l’auberge. Depuis le temps que je pense au chocolat costaricain… Je me demande finalement bien pourquoi car il ne représente que 4% des cultures nationales loin derrière le café et le sucre de canne. Peut être car il est super bon ? Ah ben oui en fait ! Le chocolat chaud que je commande se présente sous la forme d’une tasse de lait chaud dans laquelle baigne une sucette de chocolat noir. Le morceau brut va fondre lentement avec la chaleur du lait. C’est absolument délicieux ! On m’apporte peu après, gratis, un beau morceau de chocolat. Difficile de faire plus original que ce bout de « don de dieu » : un gros carré de chocolat noir dans lequel croustillent des grains de café grillés. Un mix qui se marie à merveille. Accompagné d’un bon bouquin, le moment, au calme, est parfait.

Pour la dernière soirée, je partage un repas pizza-bière avec Karin, ainsi que Gabriele et Rachel, deux québécoises de Québec, étudiantes en criminologie. Rachel a même étudié au Luxembourg. Le monde est donc si petit ?!? Il y a en tout cas énormément de québécois au Costa Rica. Le gout du backpack de nos cousins au langage étrange n’est plus à vérifier.

Le dortoir est plein ce soir. Et comme dirait Ulysse, « ca sent le canard à la patte cassé », expression du nord du Québec qui correspond à notre « ca sent le fauve ». En gros, avec le retour de 6 uruguayen, le niveau de testostérone et surtout de transpiration a augmenté de plusieurs crans.

Un dernier bain dans la piscine pour profiter encore une fois des 25°C au son latino du bar.

Apprécier le moment, on ne sait jamais de quoi demain sera fait. Carpe diem quam minimum credula postero.

PS : A priori, demain sera quand même fait d’un retour en bus vers San José, puis d’un vol vers New York. On continue !

PS2 : j’ai aperçu un bout de sommet du volcan Arenal pendant 5secondes ce matin !!!

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