Dimanche 11/07 Piran
Dimanche 11/07 Piran
Ce soir, c’est soir de finale ! Italie-Angleterre. Ca me ferait chier de voir les rosbifs se la peter… Ca me fait écrire sur un muret, sur le port slovène de Piran. Et voilà mon 66eme pays !
Nuit un peu chaotique mais une excellente auberge que celle de Anda à Mestre : moderne, propre et juste à coté de la gare pour le centre de Venise ou le reste du pays.
Justement, direction en train pour Trieste. C’est l’un des principaux ports italiens à l’Est du pays. J’y arrive en 2h et une balade dans le joli centre historique. Un style vénitien coloré qu’encadrent les installations portuaires. Une multitude de petits restaurants parsème les ruelles sur la colline de San Giusto. Je m’arrête pour une focaccia mozzarella et jambon coupé sur le moment. Un petit plaisir par cette journée déjà chaude.
Début d’après-midi, encore une petite heure de bus pour longer la cote jusqu’en Slovénie. Le pays n’a que 47km de cotes qui ont a priori le style croate sans être encore dévastées par le tourisme de masse.
J’arrive à Portoroz, la cité balnéaire principale. Une atmosphère estivale mais déjà beaucoup de monde et de parasols alignés sur la plage (ce qui ferait presque démentir le paragraphe précédent…). Je décide de longer la mer vers le village voisin de Piran, ma destination finale.
C’est une superbe pointe de petites maisons qui fleure l’Italie du Sud. Le village aura été sous domination vénitienne durant 500ans. Un joli port, une placette centrale à la place du port antique, de petites ruelles ombragées et un front de mer rocheux où je passe la fin d’après-midi.
Apres une pizza en front de mer, je me pose prés du port pour le match. Le cout de la vie a été presque divisé par deux en passant la frontière. Sauf l’auberge, au prix digne de Paris sans en avoir l’aura. Apriori négatif mais à voir.
C’est la mi-temps. Demain, je m’attaque aux autres villages de la cote !
Ajouter un commentaire